Dans la lutte contre la dépendance à la nicotine, élément principal qui provoque l’addiction, plusieurs conseils sont donnés aux consommateurs afin de les aider à mieux s’en sortir. Néanmoins, on remarque que parmi les fumeurs qui prennent la résolution d’arrêter, seulement quelques-uns y arrivent, 4 % plus précisément d’après l’OMS.
Sachant que tous ne répondent pas de la même manière à la nicotine, il est important de comprendre le phénomène dépendance afin d’adapter le traitement en conséquence.
Qu’est-ce que la dépendance au tabac ?
Il s’agit d’un manque assimilé au besoin de fumer. Il existe en effet 3 types de dépendances à la nicotine dont :
- La dépendance physique ;
- La dépendance psychologique ;
- La dépendance comportementale.
Pour la première, il s’agit d’un besoin de fumer suite à une stimulation du système nerveux, avec la libération des substances comme la dopamine et la sérotonine, qui une fois secrétées produisent une sensation de plaisir dans l’organisme.
La dépendance psychologique quant à elle, se traduit par l’utilisation du tabac comme réponse à n’importe quel type de circonstance. Pour la dépendance comportementale, la consommation du tabac devient un réflexe, un rituel à faire au quotidien pour se soulager.
Ainsi le type de dépendance est influencé en partie par la durée d’intoxication du fumeur. Plusieurs méthodes sont alors proposées aux consommateurs de tabac afin de les aider soit à réduire leur consommation ou à l’arrêter.
Nous vous en proposons 3 afin que vous puissiez choisir celle qui vous sera la plus adaptée.
La cigarette électronique
C’est une méthode qui permet de « vapoter » dans le but de faciliter le sevrage tabagique. Elle se substitue à la cigarette normale en aidant les consommateurs à ne pas ressentir son absence physique. Il s’agit d’un liquide avec des goûts aromatiques et contenant ou non de la nicotine, que le fumeur vapote pour remplacer la cigarette normale.
Cependant, il est important de prendre en compte les autres types de dépendance pour réellement aider le fumeur. C’est par ailleurs un outil qui convient à ceux qui fument depuis des années, afin de réduire leur consommation sans vraiment les aider à arrêter.
La méthode LaserOstop
Il s’agit d’une thérapie qui utilise un laser à faible densité pour stimuler les points auriculaires. Son principe consiste à agir directement sur le plexus nerveux où sont conditionnées les sensations de l’organisme notamment celle de la dépendance au tabac. L’avantage est qu’il s’agit d’une méthode non invasive, rapide et sans douleur pour le patient. En effet, avec une seule séance, qui peut durer environ 1 heure de temps, on peut réaliser son sevrage au tabac avec le LaserOstop.
Le traitement au LaserOstop est destiné à toute personne désireuse d’arrêter de fumer en général et particulièrement aux personnes qui ont essayé d’autres méthodes de sevrage sans succès. Cette méthode est sollicitée par plus de cent entreprises en Suisse et en France dans le traitement stop-tabac des collaborateurs.
En outre, votre spécialiste laserOstop® est soumis au secret professionnel et est donc tenu de garder toutes les informations que vous lui livrerez lors de votre séance de traitement.
L’utilisation des substituts nicotiniques
Il s’agit des accessoires comme des pastilles, des gommes, des patches, des inhalateurs pour aider les consommateurs à se soulager des effets provoqués par l’absence de la nicotine, lors du sevrage notamment la dépression, l’angoisse, la nervosité ou les troubles de sommeil. Ces produits à concentration nicotinique faible servent à diminuer au maximum le risque de fumer chez celui qui se met au sevrage.
La dépendance à la nicotine est un problème majeur de santé publique qu’il faut comprendre pour apporter une solution adaptée aux fumeurs. Avant de vous lancer dans l’une des méthodes, il est important de prendre en compte l’avis d’un tabacologue sur le sujet, car il existe différents types de réponses face à la dépendance.
